Photographie : Steven Herteeler – Studio Sixe

Julia Strauss,
fondatrice de PYGMALIA

Sciences-Po Paris 2005 – Escp Europe 2006 – Université Paris 8 2021

Petite, je voulais être Champollion : trouver l’outil de dialogue entre les langues, les civilisations, les cultures. Culture & débrouillardise. Humanités & ingéniosité. Des études en humanités donc, et très vite un goût pour l’efficacité du terrain. Le choix du marketing et de la communication en tant que métiers à la croisée des gens, des choses et des méthodes. 15 ans dans des grandes et des petites entreprises, dans du privé et du public, du secteur marchand et de l’intérêt général, et toujours un besoin, une envie d’épanouissement, pour moi et autour de moi.

J’ai réalisé petit à petit qu’une grande part de ma satisfaction professionnelle se concrétisait dans la relation d’aide, d’écoute et de transmission de savoirs, savoir-faire et savoir-être. Dans cette continuité, j’ai choisi de compléter ma formation par le Diplôme d’Etudes Supérieures Universitaires « Pratiques du Coaching » de l’Université Paris-8

C’est ainsi qu’est né PYGMALIA pour vous aider par un accompagnement humain et des outils méthodologiques à transformer en résultats concrets vos envies d’épanouissement, à passer de « je veux » à « je fais ».

Des inspirations antiques pour guider le présent

Lorsque j’ai décidé de créer mon activité d’accompagnement de porteurs de projets, le nom de Pygmaliondétourné au féminin, s’est immédiatement imposé à moi : il résonne notamment avec ma passion pour l’Antiquité, issue de nombreuses années d’Humanités, ainsi qu’avec ma vision positive et optimiste des rapports humains.

La puissance évocatrice des mythes, de leurs représentations, leur façon d’incarner des idées et concepts, sont pour moi un support de réflexion, de rêverie, d’évocation poétique, d’évasion… tout autant que des révélateurs de comportements, de vérités humaines et d’archétypes utiles pour décrypter le monde qui nous entoure.

Le mythe de Pygmalion

Ce mythe, tiré des Métamorphoses d’Ovide,  narre les affres d’un artiste qui sculpte dans le marbre son idéal féminin, dont il finit par tomber amoureux. La déesse de l’amour compatissante finit par donner vie à la statue pour donner un happy end à cet amour autrement impossible.

Cette relation entre Pygmalion et Galatée a fait l’objet de nombreuses interprétations, dans les domaines les plus variés, de la sculpture à la comédie musicale, en passant par la psychanalyse.

Les interprétations

Évoquant le passage du fantasme à la réalité, ce mythe représente le passage de l’idéal au réel, tout comme une idée, devenant projet, devient produit ou service une fois mis sur le marché.

Le terme de pygmalion est désormais utilisé couramment pour désigner une personne qui aide un-e artiste à développer sa carrière, devenant un synonyme de mentor.

Pygmalion et Galatée, Auguste Rodin © Musée Rodin

L’effet Pygmalion

L’effet Pygmalion, mis en évidence par le psychologue Rosenthal, est une prophétie auto-réalisatrice, c’est-à-dire que le simple fait de croire en quelque chose augmente les chances qu’il se réalise. 

Il provoque une amélioration des performances d’un sujet, en fonction du degré de croyance en sa réussite venant d’une autorité ou de son environnement. Le simple fait de croire en la réussite de quelqu’un améliore ainsi ses probabilités de succès. 

Pour en savoir plus 

Cet effet, scientifiquement prouvé par de nombreuses expérience dans le champ des thérapies cognitivo-comportementales, est au centre de ma philosophie de coaching.

J’ai la conviction profonde et sincère que chacun a la capacité d’arriver à ses objectifs et d’être heureux.

Je mettrai ainsi tous les moyens à ma disposition pour vous accompagner dans ce chemin souvent difficile, mais dont la destination est si belle.